La mise en place de la Commission chargée du recouvrement des fonds de l’Etat en déshérence dans les administrations publiques et entités privées des institutions financières, participe de la quête de la bonne gouvernance et intègre parfaitement la mission et la vision de la Commission nationale de transparence et de responsabilité dans la gestion des finances publiques (CNTR).
Tels sont l’esprit et la lettre de la correspondance adressée le 26 septembre 2025, par Joseph Mana Fouafoua le président de la CNTR au premier ministre, Anatole Collinet Makosso dont l’objet est, « félicitations pour l'institution de la Commission chargée du recouvrement des fonds de l'État en déshérence et proposition de de la CNTR ».
Pour la CNTR, l’institutionnalisation de ladite commission est une « initiative de haute portée nationale...un…dispositif(qui) marque une étape significative dans la préservation du patrimoine public et dans la restauration, auprès citoyens, de la confiance à l'égard du gouvernement ».
Pour la CNTR, « la recherche, la protection et la récupération des actifs publics », donc, « l'ambition ainsi affichée par le gouvernement s'inscrit pleinement dans la logique de bonne gouvernance, de transparence et de responsabilité » dont la CNTR a l’impérieuse mission de promouvoir.
C’est pour jouer sa partition dans la réussite de cette nouvelle expérience aux effets multiplicateurs pressentis que la CNTR rend disponible son expertise, son expérience, son savoir et son savoir-faire sous la forme voulue par le gouvernement, à travers par exemple des « appuis en matière d’analyse financière, d’évaluation comptable, de mise à disposition d’expertises, ainsi que de contributions aux mécanismes de suivi et de reddition des comptes ».
La CNTR sollicite, pour cela, une entrevue aux fins d’évoquer der manière pratique, scientifique et technique, les multiples facettes de son apport, des effets préconisés pour la tenue de ce challenge de genre nouveau. Quitte au gouvernement, promoteur et défenseur de la gouvernance participative, de savoir saisir la main tendue de la CNTR afin que le Congo tire réellement les dividendes de cette commission de recouvrement des fonds en déshérence qui permettraient, estime Joseph Mana Fouafoua, de servir au mieux, l’intérêt général.
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