Dans un communiqué de presse du 14 avril, le coordonnateur général de la dynamique citoyenne Po na ekolo samu na bwala, Digne Elvis Tsalissan Okombi, met en garde les fauteurs de troubles au sein de cette dynamique et siffle la fin du désordre. Il n’acceptera jamais la prise en otage d’un instrument de mobilisation au profit de DSN par des hommes mus par des calculs personnels et politiciens.
Le communiqué relatif à la situation actuelle au sein de la dynamique, est en fait une alerte et la fin du silence « face aux dérives récentes observées autour de cette structure stratégique de mobilisation citoyenne ».
Le coordonnateur y réclame sa paternité et sa place dans la création de po na ekolo, exhume ses origines et ses raisons d’être, puis les « fauteurs de troubles » à se ressaisir.
Il rappelle que créée en 2015, Po na ekolo, plateforme militante, engagée et résolument tournée vers le seul objectif de soutenir et accompagner l’action du chef président Denis Sassou N’Guesso est vicvtime, depuis quelques jours, d’un désordre en marge des activités régulières.
« D’anciens membres, aujourd’hui exclus pour divers manquements aux règles internes, s’arrogent le droit de parler et d’agir au nom de Po na ekolo samu na bwala, sans aucun mandat ni légitimité statutaire. Pire encore, leurs agissements sont source de tensions et de confusion au sein des bases militantes, allant jusqu’à susciter des velléités d’affrontement entre groupes de jeunes, que nous appelons à la plus grande retenue », explique le coordonnateur.
Digne Elvis Tsalissan Okombi rappelle que cette dynamique, à l’instar de Génération auto-entrepreneurs et le Patriarche qu’il coordonne « n’existent que pour…le soutien total, exclusif et discipliné de l’action du chef de l’Etat ». Il met en garde contre toute récupération « visant à saper cet engagement, à travers des manœuvres personnelles ou des usurpations d’autorité » et prévient qu’elle « constitue une atteinte grave » à l’idéal « et ne saurait être tolérée ».
Le coordonnateur général qui annonce son retrait à la tête de cette dynamique, rappelle que « seul le comité directeur, dans le strict respect des textes fondateurs de la dynamique, est habilité à convoquer une assemblée générale en vue de la restructuration des instances et de la mise en place d’une nouvelle coordination légitime et consensuelle ».
Par conséquent, il invite « tous les fauteurs de troubles à se ressaisir, à renoncer aux pratiques de confusion et de division, et à respecter scrupuleusement les règles établies », prévenant que « Po na ekolo samu na bwala ne saurait être l’otage de velléités personnelles ou de calculs politiciens... Le temps du désordre est révolu. Place à la discipline, à l’organisation, et à l’engagement patriotique ».
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