JE SUIS JEUNE ET CONGOPTIMISTE : L’ÂGE D’OR D'UN ANTIDOTE CONTRE LE PESSIMISME ET LA FATALISME

Le tourant du grand réveil communicationnel de la Force montante congolaise (FMC) face au découragement, au pessimisme, au défaitisme face aux incertitudes des lendemains qui hantent les esprits fragiles en milieu juvénile congolais, tient la route.

En quelques semaines à peine, des voix s’élèvent parmi des jeunes du Parti congolais du travail (PCT) pour prêcher l’espoir, apporter l’espérance aux jeunes d’abord, aux Congolais dans leur ensemble, quant à leur avenir, à celui du pays. 

A la manipulation des consciences, la ventilation de la peur adoptée et des incertitudes par les milieux sulfureux pour susciter la colère populaire à travers le dénigrement des gouvernants, le mensonge, les fake-news, la désinformation, la mésinformation ; à la sous information orchestrées par des influenceurs navigants à contre-courant de la réalité, paniquant parfois l’opinion publique à l’esprit fragilisé par les vicissitudes conjoncturelles, des voix les plus sures et convaincantes parlent vrai. Elles disent ou rétablissent la vérité sur les sujets de haute facture sociale et économique galvanisent les consciences et immunisent les ardeurs et apportent en fait le vrai vaccin contre le pessimisme en milieu juvénile.

LA VERITE SUR LE GAZ ET LE CARBURANT  
C’est le cas de Wilfried Ndinga Makanda, jeune de l’administration de l’Aval pétrolier qui explique les raisons et les solutions adoptées face à la rupture récurrente depuis septembre dernier, des produits pétroliers finis liquides et gazeux. La pénurie de carburant dit-il, est tributaire des soucis enregistrés à l’Amont pétrolier qui est inter connecté à l’Aval pétrolier. Ces « problèmes en amont, ont des répercutions en aval…La CORAF qui couvre à 70%, la desserte du marché national en produits pétroliers finis a vu ses lots de brut diminués ».

Wilfried Ndinga Makanda rassure les Congolais sur les mesures prises par le gouvernement en vue de la résolution de la situation, à travers notamment un « comité de suivi qui se réuni chaque vendredi » pour faire le point de l’évolution de la situation. « Les grandes mesures sont prises et on constate une amélioration » dans l’approvisionnement, dit-il en insistant qu’il faut lutter contre la contre bande entretenue par des maffieux qui achètent, stockent les produits pour faire la surenchère.

L’EQUATION BOURSE DES ETUDIANTS  
Elle est abordée par Andoch Emery Vitickat, secrétaire principal à l’ISEPS à travers un rappel, que la bourse, toujours payée par le gouvernement est devenue irrégulière depuis 2018 à cause de la crise qui n’a pas secoué que le Congo. Mais, dès 2024 des réformes ont été apportée et, depuis le début de l’année « la bourse est mensuelle », en ce sens qu’elle versée la semaine qui suit la paie des salaires des fonctionnaires. Le co-fondateur de la FMC rassure aussi que les arriérés cumulés de 2018 à 2023 auront « un traitement spécial ». Il exhorte les étudiants à ne pas se décourager. « Le gouvernement travaille » et les étudiants pourront se réveiller un jour, avec un « calendrier de paie. Continuer à croire », conseille-t-il. 

LE CONGO N’EST PAS UN ECHEC ANTICIPE 
C’est la conviction de Sarah Adoua, consultante et attachée,  secrétaire rapporteur à la Commission contrôle et évaluation de la FMC pour qui, la loi Mouebara répond à une problématique majeure ; la protection des droits et de la dignité des femmes par la prise en compte de violences spécifiques basées sur le genre. Au-delà des insuffisances des codes de la famille et code pénal, la volonté politique de président Denis Sassou N’Guesso est de « conjuguer le progrès et le bienêtre de tous les citoyens ». Désormais, soupire-t-elle, « les femmes ont des armes supplémentaires, pour se défendre face aux bourreaux…Les Congo n’est pas un échec anticipé. L’avenir nous appartient ». 

SANTE, LE GRAND BOND  
Membre du comité central de la FMC, le docteur Théophile Adoua est l’un des heureux bénéficiaires de la politique de formation massive des médecins engagée par le gouvernement depuis 2013, « pour faciliter l’accès aux soins de qualité » et diminuer le déficit en personnel soignant dans les formations sanitaires. Depuis 2013, des milliers des médecins sont formés à Cuba et sur place au Congo. Ils exercent et, le nombre des soignants a triplé en une décennie pour un meilleur accès aux soins de santé. Le docteur « encourage le gouvernement à aller de l’avant dans la spécialisation », dans le rêve de « faire du Congo, une destination santé ».

ESPOIR POUR LES JEUNES EN CONFLIT AVEC LA LOI 
Il est mis en exergue par Juscain Boundoki, élève avocat, assistant au Conseil consultatif de la jeunesse à travers des actions sociales au profit des jeunes délinquant pour lesquelles, le gouvernement a eu l’ingénieuse idée de réhabiliter les centres d’insertion des jeunes en conflit avec la loi. Il cite le site d’Aubeville dans la Bouenza dont les travaux sont en phase finale. Il parle aussi de ceux d’Otsendé, Opokania qui seront aussi modernisés pour la même finalité. « Au lieu d’attendre le pire » après parfois une procédure pénale longue, « il faut intervenir en amont », dit-il. Il faut permettre à ces jeunes « de sortir de là avec un métier, une conscience citoyenne en lieu et place des pensées criminogènes ».

La campagne « je suis jeune et Congoptimiste » qui semble atteindre son point culminant, en montrant la voie ou en remettant sur le chemin les jeunes artificiellement désemparés et condamnés sans cause à l’échec alors qu’ils ont du potentiel, du talent et tout pour réussir. C’est à ce titre que « je suis jeune et Congoptimiste » qui consiste à « lutter contre la désinformation de tout genre et est avant tout destinée à rassurer l’opinion, publique, apaiser les esprits, à consolider la paix et le vivre ensemble, en prévenant les violences préélectorales, à contrer la désinformation alimentée par les activiste mal intentionnés, à réveiller au passage, le feu  du patriotisme qui brûle en chacun en mettant en lumière les efforts consentis par le camarade président Denis Sassou N’Guesso…C’est un appel à l’action et l’engagement des nôtres envisageant par un optimisme jeune, un avenir pour notre pays », tel que dit par le premier secrétaire de la FMC Vadim Osdet Mvouba, uara atteint son but.

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