ÉCONOMIE

FIGA : CHRONIQUE D’UNE BONNE SANTÉ

Mer 27 Nov 2024

Elle est faite par le directeur général. Dayi Allaire Brahnam Kintombo affirme et démontre que le « FIGA se porte très bien ».


Dans une série de sept capsules devenues virales sur le net et authentifiées, le Fonds d’impulsion, de garantie et d’accompagnement des micros, très petites, petites, moyennes entreprises et de l’artisanat (FIGA) dresse un état des lieux presque luisant. Il fait encore rêver et suscite l’espoir en déballant priorités, ambitions à court termes et avantages consécutifs au passage du statut de l’EPA à celui d’EPIC

Grâce à ce statut juridique recalibré et sur mesure, avec des états financiers à jour, un dispositif de contrôle interne renforcé, une double signature aux banques, un contrôleur budgétaire à demeure qui veille à la dépense, le FIGA continue de bénéficier de la confiance du gouvernement qui lui a affecté des moyens suffisants, pour lui permettre de relancer l’activité de garantie avec les banques et les microfinances, « Le FIGA se porte très bien », selon Dayi Allaire Branham Kintombo.

Des ingrédients qui consolident le FIGA dans sa vocation d’ériger l’entreprenariat en alternative à la Fonction publique et de jouer pleinement son rôle de permettre aux porteurs d’idées de se faire formaliser, de les accompagner à trouver des financements en vue de renforcer la création d'emploi et d'apporter la plus-value à l’économie.

C’est dans cette optique, explique le directeur général que, « nous avons accéléré l’accompagnement pour le financement…Nous avons accompagné pour un montant de deux milliards de FCFA » pour un volume de 1 800 bénéficiaires dont 80% des jeunes. Plus d’un demi-millier de jeunes ont été formés. Ils ont bénéficié de business-plans. Mais au-delà le FIGA dispose d’un plan de développement stratégique avec comme priorité 2025, une année qui s’annonce décisive.

On aura aussi retenu de ces interventions du DG que le FIGA est un outil de garantie qui accompagne gratuitement les porteurs de projets, les jeunes et startups à se formaliser, à bénéficier des formations sur la culture entrepreneuriale et à être accompagné pour l’élaboration des business-plans. Il permet aux artisans, très petits, petits et moyens entrepreneurs d’accéder au financement à travers sa garantie, dans cet écosystème où l’accès aux crédits bancaires et aux microfinances s’avère être un chemin de la croix pour ces entités. Cet accompagnement a-t-on compris, est un gage de pérennisation de l’activité des bénéficiaires. Il contribue à la création d’emploi et de richesse, faisant du FIGA un maillon essentiel de promotion de l’entreprenariat.

D’où l’invite du DG aux jeunes au changement de mentalité puisque l’Etat a mis à leur disposition, des instruments appropriés. « Il n’y a plus de raison de se plaindre d’un quelconque défaut d’accompagnement de l’Etat ». Tout un écosystème est fonctionnel à cet effet : l’CPCE pour la création de l’entreprise, l’ADPME pour le montage des business-plans, le FONEA pour la formation sur les métiers et le FIGA pour l’accès au financement. « Ceux qui ont des besoins peuvent gratuitement et directement s’adresser au FIGA qui par le truchement de ses partenaires », donnera toutes les suites possibles à chacune de doléance ou de sollicitation.

Pour toute information, Dayi Allaire Branham Kintombo rappelle que la direction générale du FIGA est logée dans l’immeuble Diamond sur l'Avenue de l'amitié, au centre-ville de Brazzaville. Le FIGA dispose des agences à Pointe-Noire, Dolisie, Owando, Ouesso et une agence départementale à Brazzaville auprès desquelles, tout usager peut accéder aux informations sur la procédure d'impulsion, d'accompagnement et d'octroi de garantie… mais au-delà, toutes les informations sont accessibles sur le site officiel www.figa.cg et sur les réseaux sociaux @FIGACONGO


BRAZZA NET, vérité-courage-liberté